Comment être libre aujourd’hui?  

Il existe de nombreux degrés, tant dans la liberté que dans l’esclavage. Cependant il est essentiel de savoir qu’il existe dans l’esclavage un point de non retour, une ligne rouge à ne jamais franchir individuellement et encore moins collectivement. Cette ligne rouge dépend des organes physiques des êtres humains. Voyons comment être libre en garantissant l’intégrité de nos organes.

Organes physiques et organes subtils 

“Les êtres humains ont des organes subtiles et des organes physiques. Il y a un lien entres ces différents organes, et cet ensemble vit en interrelation avec d’autres formes d’existences, comme les planètes, les galaxies, les animaux, les plantes, les minéraux… Il existe de très nombreux liens entre l’être humain et son environnement. Plus que des liens, il s’agit d’une interpénétration et d’une participation mutuelle permanente. L’être humain n’existe que grâce à cette participation mutuelle. Si l’interrelation disparaît, l’humain disparaît. Peut-être qu’il est possible de maintenir le corps vivant malgré tout, mais on ne pourrait plus considérer qu’il s’agit d’un être humain. Il s’agirait d’une forme humanoïde dégénérée: une autre espèce.

 

Comment être libre: le libre arbitre humain  

La liberté pour un être humain, c’est de pouvoir faire usage du libre arbitre propre à notre espèce. Il n’y a pas de libre arbitre chez les animaux. C’est l’instinct qui gère leur comportement. Il n’y a pas non plus de libre arbitre chez les végétaux. Ce que fait un animal est programmé par avance dans les grandes lignes. Bien sûr que la vie des humains est elle aussi programmée, mais avec une marge de manœuvre beaucoup plus large. Cependant le libre arbitre humain peut être résumé à cette unique question:  vivre dans l’harmonie et respecter les lois de l’harmonie, ou vivre en dehors de l’harmonie et en subir les conséquences?

Depuis bien longtemps, la notion de liberté n’est plus associée à cette question fondamentale. Il est en usage de considérer qu’être libre appartient seulement à la deuxième option : refuser les lois de l’harmonie et être libre en dehors de l’harmonie ; comme si les lois de l’harmonie étaient une prison dont il faut s’évader ( voir l’article “les Anges rebelles” qui explique l’origine de cette situation). La civilisation occidentale explore depuis des siècles la liberté en dehors de l’harmonie. Pourtant être libre n’est possible que dans l’harmonie. La forme de « liberté » qui apparaît en dehors de l’harmonie est, au mieux une douce illusion de liberté, au pire l’esclavage. Cela est une loi immuable et mon propos n’a donc rien d’original.

 

Pourtant, dans le domaine de la liberté, de l’illusion de liberté et de la privation de liberté, une nouveauté apocalyptique est en train d’apparaître. 

“Une nouveauté apocalyptique est en train d’apparaître”

En effet, comme on vient de le dire, depuis l’aube de l’humanité, les humains sont plus ou moins libre, plus ou moins esclaves. Et en tout temps il y a eu des individus qui ont émergé de la masse inconsciente pour s’élancer vers le monde de l’harmonie et retrouver la liberté fondamentale : celle de vivre en harmonie avec tous les mondes et tous les êtres.

 

Ces êtres ont parlé d’éveil, d’amour, de lumière, de Dieu… Beaucoup parmi eux ont enseigné les liens entre les organes et les mondes. On a parlé de physiologie occulte, d’acupuncture, de yoga, de chakras, de corps subtils, du corps du christ, des mudras… De nombreuses visions sont apparues qui pointent toutes la même direction. Pourquoi tous ces maîtres qui étaient des amoureux de la sagesse ont enseigné cela ? Parce que ce sont les organes physiques qui servent de support aux organes subtils et que cet ensemble a été créé par l’harmonie, dans l’harmonie, pour l’harmonie. En bref, si l’homme perd ses organes, il n’aura plus la possibilité d’accéder à l’harmonie. Comment fera t-il pour être libre? 

 

apprendre le lâcher prise

Mais pourquoi l’humanité perdrait-elle ses organes ? Impossible?

Pendant des milliers d’années, les humains pouvaient être mis en esclavage par d’autres humains, mais ils ne perdaient pas leurs organes. Ils étaient parfois conditionnés par des méthodes éducatives inhumaines. Ils étaient parfois manipulés psychologiquement et rendu étonnamment idiots et dociles, pourtant ils avaient toujours leurs organes. Même s’ils étaient torturés, ils ne perdaient pas leurs organes. Même morts, massacrés et brûlés, ils ne perdaient pas leurs organes. Je m’explique : dans l’époque actuelle une certaine « science », et une certaine « médecine » se sont alliés pour modifier les organes des humains, pour modifier le génome, pour permettre le mélange entre la technologie et la biologie naturelle. C’est à cet endroit là que se trouve la ligne qui ne peut pas être franchie.

 

Liberté ou technologie?

Si les humains qui vivront demain ne disposent plus des organes naturels qui ont été créé par l’harmonie, pour l’harmonie et dans l’harmonie, alors la possibilité de l’éveil disparaîtra et avec elle la liberté. Si les humains n’ont plus leurs organes naturels et leur génome naturel, la possibilité de transiter de l’esclavage vers la liberté disparaît. Les organes modifiés et le génome modifié ne seront jamais intégrés au monde de l’harmonie. Un cerveaux humain « augmenté » par des microprocesseurs et des nanoparticules ou autres technologies ridicules ne sera jamais intégré au monde de l’harmonie. Si cela se produit, il n’y a aura plus de chemin pour la conscience, plus de chemin pour la lumière, plus de chemin pour les vertus, plus de contact possible entre le monde divin et l’humanité.

 

Il faut saisir que si j’écris cet article, ce n’est pas pour jouer à annoncer une prophétie apocalyptique. Si j’écris cet article c’est parce que l’humanité est actuellement au niveau de la ligne rouge et que demain il y aura soit deux humanités – une humanité technologique avec des organes mutants et plus d’organes subtils, et une humanité originelle avec des organes naturels – soit uniquement une humanité technologique.

 

Ça se joue maintenant.

La liberté c’est maintenant.

A chacun de choisir dans quel monde il veut vivre et quel monde il veut transmettre à ses enfants.